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Difference between revisions of "Freebsd sur netbook"

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(Les points qui font que FreeBSD c'est cool)
(Les points qui font que FreeBSD c'est cool)
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*La gestion de la mise en veille. L'acpi (quand il marche) permet de vous passer d'éteindre votre laptop, chose utile quand votre ordi décide d'aller au BIOS une fois sur 15... un coup d'acpiconf -s 3, ou bien la commande zzz, et votre ordinateur se mettra en hibernation, en conservant vos fenêtres !
 
*La gestion de la mise en veille. L'acpi (quand il marche) permet de vous passer d'éteindre votre laptop, chose utile quand votre ordi décide d'aller au BIOS une fois sur 15... un coup d'acpiconf -s 3, ou bien la commande zzz, et votre ordinateur se mettra en hibernation, en conservant vos fenêtres !
  
 
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*La documentation du système est l'un des outils les plus puissants mis à la disposition de l'utilisateur comme de l'administrateur. Les fichiers de configuration comme les utilitaires sont très bien décris, et c'est une tradition des packagers de FreeBSD de rendre la documentation complête
  
 
== Les points où FreeBSD c'est moins cool ==
 
== Les points où FreeBSD c'est moins cool ==

Revision as of 23:24, 8 December 2013

Voici le retour de mon expérience sur FreeBSD, installé pendant une semaine sur un netbook. J'essaierais d'être le plus concit et clair possible sur les problèmes qui me sont tombé sur le coin du pif pendant son utilisation.

Matériel Utilisé

  • Toshiba NB200
  • Processeur Intel Atom N200
  • 1Go de RAM
  • 250Go de disque dur
  • 1 Geek debianeux
  • 1 gourou FreeBSDiste
  • 1 chan de FreeBSDistes

Les points qui font que FreeBSD c'est cool

  • Le Partitionnement est relativement aisé. Sur une Debian, j'avais l'habitude d'allouer /, /boot et/home (à respectivement 25Go, 200Mo et le reste d'espace disponible). Lors du partitionnement, je n'ai eu qu'à allouer /boot, / et /usr. /boot faisait 68Mo si mon souvenir est bon, / faisait 2Go, et /usr contenait le reste. (ne pas oublier les 3Go de SWAP dans /var)

L'avantage dans cette technique est que le système de base minimaliste est séparé et que les paquets ainsi que les répertoires /home sont dans la même partition. Aucun risque de voir grandir le nombre de paquets sans s'inquiéter de la taille de la partition.

  • Le système de gestion des paquets. La Collection des ports de FreeBSD est une methode vraiment sympathique et originale, qui permet à l'utilisateur de lui-même compiler les logiciels depuis leurs sources, lesquelles auront au préalable été "portées" pour le système. On retrouve notre bon vieux make, et la possibilité de choisir le nombre de cœurs qui seront alloués à cette tâche.
  • Vous pouvez aisément mettre en place votre propre dépôt de paquets précompilés, grâce à poudriere. C'est une forge de paquets qui vous aideras grandement à garder des sources récentes et propres
  • La gestion de la mise en veille. L'acpi (quand il marche) permet de vous passer d'éteindre votre laptop, chose utile quand votre ordi décide d'aller au BIOS une fois sur 15... un coup d'acpiconf -s 3, ou bien la commande zzz, et votre ordinateur se mettra en hibernation, en conservant vos fenêtres !
  • La documentation du système est l'un des outils les plus puissants mis à la disposition de l'utilisateur comme de l'administrateur. Les fichiers de configuration comme les utilitaires sont très bien décris, et c'est une tradition des packagers de FreeBSD de rendre la documentation complête

Les points où FreeBSD c'est moins cool

  • En tant qu'OS dédié aux serveurs, FreeBSD n'embarque pas de suites d'outils systèmes pour les laptops (vous vous souviendrez de la case "laptop" dans le taskel de Debian). Vous devrez choisir vos outils de gestion d'alimentation, et surtout devoir éviter de compiler trop souvent. l'OS n'iras pas de main morte, quelle que soit le niveau de la batterie...
  • Car sur un atom avec 1Go de RAM, compiler Git, c'est vraiment très long... Ce qui implique d'utiliser des gesitonnaires de paquets précompilés, mais là encore un problème se pose, car le nouveau gestionnaire de paquets, pkgng, n'est pas aussi facile d'utilisation que le apt-get de Debian. Le système de recherche n'est pas très efficace, et impossible d'installer un paquet sans son numéro de version, ce qui nécessite un coup de <TAB>, et donc interroger le serveur de paquets.